Portrait : Marco Lallemant, le dessin aux bouts des mains

Marco est un jeune artiste. Du haut de ses 26 ans, il s’est essayé à diverses formes d’arts. En étudiant dans une école lyonnaise spécialisée dans le dessin, il a autant exploré l’art numérique que l’art manuel. Pour lui, le crayon n’a pas d’égal. « Tenir un vrai objet entre les mains, c’est tout de même plus concret », nous explique Marco. « Et puis, sur le papier, le retour en arrière est plus compliqué. Ça rend le dessin plus intéressant », poursuit-il. Acrylique, aquarelle, crayons en tout genre… l’illustrateur varie les supports et les techniques. Peut-être cherche-t-il encore sa voie ?

Un exemple du travail de Marco Lallemant : sa dernière toile faite pour Spacejunk

 

C’est une deuxième édition du projet Vénus à laquelle participe ce dessinateur en herbe. « J’ai été séduit par la liberté qu’apporte le projet. En plus, peindre sur une photo, c’est assez original. Et tout ça pour une cause noble ! », raconte-t-il. Cette année, Marco connaît personnellement Emeline, son modèle, puisque c’est l’une de ses amies. Il espère donc échanger avec elle afin de cerner au mieux sa posture, qu’il trouve d’ailleurs « classe et énergique ».

Bien qu’il aime laisser une liberté à son public pour que celui-ci s’approprie l’œuvre, il souhaite toutefois transmettre un message à travers sa Vénus. « Je pense que le boulot va être axé sur le thème des super-héros », confie Marco. De quoi nous mettre l’eau à la bouche !

Loïc Hudry

Pour patienter, vous pouvez retrouver les œuvres de Marco Lallemant sur son site internet ainsi que sur sa page Facebook.